À l’origine de ces trois lettres, l’américain Joël Arthur Rosenthal. C’était en 1978. Cet ancien vendeur de chez Bulgari n’a étudié ni la joaillerie ni la gemmologie, mais sa passion pour les bijoux l’a conduit dans le monde de la bijouterie. Discret, JAR fait tout pour que son entreprise ne soit pas connue du grand public : pas d’enseigne de rue, pas de publicités ni de photos. Ses vitrines situées au 7 place Vendôme, près de l’hôtel Ritz, sont vides comme son site internet. De lui, les médias ne recensent que de rares interviews.
« Pourquoi se raconter pour conquérir des clients, alors que ceux-ci viennent à vous ? » C’est le crédo de JAR. Il crée des bijoux anciens uniques pour les supernovas et multi milliardaires. Parmi ses quelque 300 fans, il y a Madonna, Gwyneth Paltrow, Elizabeth Taylor, etc. À chaque vente, les bijoux de JAR sont adjugés à des prix dépassant le double, le triple, voire le quintuple de l’estimation. En 2013, son chiffre d’affaires plafonne à 21 millions d’euros.
Fasciné par les bijoux anciens et les pierres précieuses, JAR rend chacune de ses créations plus que désirables. Sa source d’inspiration ? La faune et la flore. Des mentions spéciales pour une broche en pétales de lilas, des boucles d’oreille en forme de tulipes, une bague dont la monture est formée par une tresse de diamants... que de sublimes créations.
Vous l’aurez compris, les bijoux anciens signés Jar ne sont visibles nulle part, excepté dans les musées et les ventes. Aujourd’hui, grâce à Miller, vous pouvez vous offrir ou offrir les plus beaux bijoux d’occasion Jar à des prix très intéressants.